
18h05
Novecento
Théâtre Musical Français
(à partir de 8 ans)
Durée 1h15
Du 5 au 26 Juillet 2025
Relâches les Jeudis
Novecento Pianiste est une nouvelle théâtrale sous forme de monologue de Alessandro Baricco publiée en 1994, elle raconte l’Histoire de Danny Boodmann T.D. Lemon Novecento, pianiste « dont la musique semble venir d’ailleurs » qui fut trouvé bébé à bord du Virginian, paquebot effectuant les traversées transatlantiques, et qui depuis, n’en n’est jamais descendu.
La réputation de ce pianiste sur l’Océan dépasse la passerelle du bateau jusqu’à arriver aux oreilles de Jelly Roll Morton, « l’inventeur du jazz » qui finit par prendre un billet pour Southampton afin d’affronter en duel musical celui qu’on appelle Novecento.
Cette histoire est contée par Tim Tooney, le trompettiste de l’orchestre du Virginian, ami de Novecento pendant les 6 ans où il était là-haut. Du jour où il a été trouvé dans une caisse en bois sur le piano « des rupins du grand salon des premières classes » , son adoption par un marin nommé Danny Boodmann jusqu’au jour ou la compagnie va couler le Virginian à grand coup de dynamite, Novecento n’a jamais quitté le navire et n’a jamais cessé de jouer cette musique dont lui seul avait le secret.
Pourquoi ?
Novecento me suit depuis longtemps, La nouvelle m’a été offerte par le régisseur de Pianistologie, mon premier spectacle et presque par réflexe, pour tourner un de mes clip (TGV 7651) il me fallait un bouquin, et j’ai pris Novecento comme un porte-bonheur. D’autre part j’ai toujours été un amoureux de la mer et aujourd’hui j’ai la chance d’avoir un petit bateau et de pouvoir aller me ressourcer au large le plus souvent possible. A côté de mon métier de pianiste, je joue toujours de la trompette en amateur au Big Band de Tourcoing.
Alors, évidemment, un trompettiste qui raconte l’histoire d’un pianiste sur un bateau …
La nécessité pour moi de conter cette histoire est devenue évidente aujourd’hui.
Mais en lisant et relisant la nouvelle, je me suis toujours demandé : « Où est la musique ? ». A quoi ressemble la musique de Novecento ? Qu’elle est cette valse mystérieuse qu’il interprète quand le piano roule de bâbord à tribord pendant la tempête ? Comment a-t-il « combattu » Jelly Roll Morton « l’inventeur du jazz » pendant ce duel ?
La Musique
Toute la musique du spectacle est une création originale de Simon Fache :
Interprétée au Piano, à la trompette, accompagnée à la contrebasse.
Il est évidemment impossible de décrire de la musique avec des mots, surtout une « musique qui n’existe pas » comme celle de Novecento, et dans la nouvelle de Baricco, même s’il décrit du mieux qu’il peut cette musique inconnue,on ne peut pas l’entendre.
C’est pour cette raison que j’ai eu envie de raconter Novecento en musique. Ayant étudié l’Histoire de la musique au CNSM de Paris, j’attache énormément d’importance à la “vérité historique” de la musique que je vais composer. Chaque tableau du spectacle (1900, 1908, 1927, 1931, 1935, 1945) est donc illustré par une création musicale spécifique qui mélange les musiques de ces années là en effet, « c’est le monde entier » qui passe sur le Virginian et sous les yeux et les oreilles de Novecento.
On s’accorde à dire que le jazz est né en 1900 dont avec le “Mapple Leaf Rag de Scott Joplin” la musique qu’on entend sur le virginian pourrait être un mélange des premiers Ragtime de Scott Joplin dont Debussy lui-même s’est inspiré dans ses Children’s Corner”.
On sait que le grand pianiste Rachmaninov quitte la Russie en 1906 et entame sa première tournée américaine en 1909, il a pu donc embarquer à bord du Virginia ? ou alors peut-être lors de sa tournée hommage à Scriabine après la mort de ce dernier en 1915 ? Novecento aurait pu l’entendre.
Dans Novecento on assiste à une battle entre lui et Jelly Roll Morton, on a la chance de connaître les enregistrements de ce dernier, on peut donc reproduire son jeu et ses compositions de 1931 mais comme Novecento relève le défi, pour le “dépasser” il a pu s’inspirer d’autres pianistes qui ont fait la traversée, il n’y a pas que Rachmaninov et Scriabine, Ravel part aux états unis en 1928 et s’inspire des musiques américaines pour composer son concerto en sol et son concerto pour la main gauche.
Novecento l’a-t-il entendu ?
De même que Aaron Copland a étudié en France dans les années 20 avant de retourner aux Etats-Unis en 29, avait-il emmené dans ses bagages les influences de Fats Waller ? Gershwin a été invité à Londres en 1923 , soit un an avant la création de sa Rhapsody in Blue. Strawinsky, lui, a fait la traversée transatlantique en 1937 on peut citer aussi Prokofiev, Schoenberg et tant d’autres …
Tous ont traversé l’Océan, Novecento les aurait vus ? entendus ? et s’en serait inspiré … ou alors … est-ce l’inverse … ? Ce qui rendrait l’Histoire de la Musique encore plus croustillante.
La création musicale de ce conte est basé sur ce parti pris :
Tous les compositeurs qui ont traversé l’atlantique entre 1900 et 1945 se sont inspirés de Novecento !
Voici quelques pièces qui auraient (oui rappelons que ce n’est qu’une fiction) été inspirées par la musique de Novecento dans l’ordre chronologique du conte.
On y entend la perméabilité entre Musique Française, Musique Russe, Musique classique Américaine et enfin : Jazz !
1900 Mapple Leaf Rag de Scott Joplin
1904 Kinder toten lieder de Mahler
1908 Children Corner’s De Debussy
1910 Ce qu’a vu le vent d’ouest de Debussy
1917 La mer et les mouettes, étude tableau op 39 de Rachmaninov
1920 La Valse de Ravel
1924 Rhapsody in Blue de Gershwin
1928 Shreveport Song de Jelly Roll Morton
1941 Sonate pour piano d’Aaron Copland
Le point de vue narratif
Je me sens très proche de Tim Tooney, ce « mec qui joue de la trompette » (il ne se considère même pas comme « trompettiste ») qui, même en étant musicien professionnel, voue un culte, une admiration pour Novecento, ce pianiste un peu autiste, renfermé sur lui-même et complètement sur une autre planète et qui joue une musique dont on ignore l’origine et le fondement seulement … sur l’Océan.
Novecento est mystérieux, on ne sait rien de lui, et on n’ose pas lui demander, il a le regard vide et ailleurs.
J’ai le même sentiment d’admiration pour des pianistes que j’admire, grands pianistes de jazz comme Keith Jarrett ou Classiques Comme David Helfgott ou d’autres pianistes moins renommés mais que j’ai pu rencontrer ici ou ailleurs tels que Michel Sanchez Yvan Fevre (des pianistes de la région que j’ai connu personnellement). Ils ont tous en commun d’être complètement habités par la musique qu’ils sont en train de jouer et nul ne peut comprendre ce qu’il se passe dans leur tête.
L’adaptation
L’idée est de faire de cette nouvelle, un conte musical dans lequel le piano deviendrait le principal narrateur.
Tout d’abord les scènes du livre qui « parlent » de musique seront remplacées par de la musique et les moments de voyage, d’introspection, d’émotions seront développés musicalement plutôt qu’avec des mots, les personnages seront suggérés en musique comme le carnaval des animaux de Saint Saëns ou le prélude à l’après-midi d’un Faune de Debussy et les actions seront brièvement présentées et développées en musique comme dans Pierre et le Loup de Prokofiev.
Les personnages et les actions seront aussi suggérés par la lumière et la scénographie.
La scénographie
Sur scène 2 musiciens : Un Pianiste / Trompettiste / Conteur et un Contrebassiste / Machiniste
Au centre de la scène un piano droit d’époque, couleur bois avec moulures et chandeliers.
Ce piano est très mobile, il peut tourner sur lui-même, parcourir les quatre coins de la scène.
Et des panneaux de tissus blanc rectangulaires et triangulaires sur lesquels seront projetés des ombres.
En effet les personnages de l’histoire sont suggérés par des ombres portées, soit sur les panneaux en fond de scène, ou en ombre en nez de scène en s’approchant presque du théâtre d’ombre.
Tous ces panneaux de tissus sont hissés, déplacés, affalés telles des voiles de bateaux par un système de poulies, de palans de winch et autres accastillages marin avec des guindes en chanvre dans le but de changer l’architecture du plateau
au fur et à mesure du spectacle.
La machinerie se fait à vue et est faite par le Contrebassiste qui évoque par son costume l’équipage du Virginian.



L’Équipe
Piano, trompette, conte et création musicale : Simon Fache
Contrebasse et machinerie : Fabrice L’Homme
Adaptation : Simon Fache et Jacky Matte
Mise en Scène : Béatrice Agenin
Scénographie : Guillaume Singer
Création Lumière : Jérémy Scherpereel
Affiche : Thomas Muselet
Diffusion : Jean-François Carré
Simon Fache (Conteur, pianiste, trompettiste)
Simon Fache en quelques chiffres, c’est :
352 représentations de Pianistologie en solo ou avec 42 orchestres différents, 246 matchs d’improvisation, 223 Vendredi tout est permis , 49 albums en tant qu’ arrangeur ou directeur artistique, 6 médailles d’or de conservatoire , 1 prix du CNSM, un Big Backing Band de 105 musiciens, un Déconcerto pour 31 pianistes ,15 musiques de documentaire, 14 BO de spectacles des centaines d’arrangements pour Big Band, Orchestre symphonique ou Harmonie, 1 ciné-concert, 1 studio d’enregistrement et 1 quartet de latin jazz pour se détendre.
Formé en piano et trompette classique aux conservatoires de Tourcoing et Lille , il a toujours mené les deux fronts , Musique populaire et musique classique ; il était pianiste de brasserie à Bray-Dunes ou trompettiste dans les fanfares de rues tout en suivant ses études musicales classiques et jazz, obtenant ainsi 6 médailles d’or pour étudier ensuite l’histoire de la musique au conservatoire de Paris ce qui lui donna l’occasion de traîner les clubs de jazz jusqu’au bout de la nuit.
Pour Simon Fache, « il n’y a pas de petite ou de grande musique » et c’est pour cette raison qu’il s’est toujours intéressé à tout. Il a grandi dans les harmonies et fanfares dans lesquelles il jouait de la trompette tout en suivant un cursus de piano classique, puis jazz, au conservatoire. Parallèlement à ses études musicologiques au CNSM de paris, il découvre les « musiques actuelles » et joue aussi bien dans des des groupes de salsa, produit des EP de techno et accompagne des spectacles d’improvisation théâtrale. Il se passionne pour l’arrangement et l’orchestration des musiques actuelles, travaillant aussi bien pour un « Pink Floyd Symphonic Show », des contes et spectacles pour orchestres d’harmonie, des albums de Métal en Big Band ou encore des créations pour 31 pianos. De fil en aiguille et depuis qu’il participe à l’émission « Vendredi tout est permis » avec Arthur, il a composé de nombreuses musiques de spectacles de théâtre ou de seul en scène dont le spectacle musical « Les Mystérieuses Cités d’Or » pour le théâtre des variétés de Paris ou encore des films documentaires pour la télévision.
Aujourd’hui il partage sa vie entre ses spectacles en tournée (Pianiste Tout Terrain, Pianistologie) et la composition car Il sera compositeur en résidence au conservatoire de Tourcoing à partir de janvier 2024 et signera aussi la composition de la pièce pour Harmonie de la prochaine édition de Lille 3000 qui aura lieu en 2025
Fabrice L’Homme (contrebassiste machiniste)
Partenaire de scène depuis plus de 20 ans de Simon Fache
Né à Lille, Fabrice commence la basse à l’âge de 15 ans et suit des études au conservatoire de Lille avec Yves Torchinsky puis à l’EF2M de Tourcoing. Après l’obtention d’un diplôme cette fois au conservatoire de Tourcoing, il intègre le groupe de chansons « les blaireaux » avec lequel il tournera dans toute la France pendant 5 ans, avant d’enchaîner avec le nouveau projet d’HK « HK et les déserteurs », qui le mènera en Algérie, au Maroc, en Tunisie, en Palestine… Il retrouve ensuite son vieux complice Simon Fache pour le spectacle « Pianistologie Symphonique ».
En marge de ses collaborations diverses dans des univers aussi variés que le Gospel (Gospel Team, Gospel jazz…), la chanson (Lulu, Lénine renaud) les musiques du monde (Compagnie du Tire-Laine, Sorif…), il participe au concert de sortie d’album d’Idir au Grand Rex en 2017 puis à son grand retour en Algérie pour le concert des Retrouvailles en 2018 à la Coupole à Alger.
Après s’être mis à la contrebasse et avoir tourné avec Lénine Renaud, il remonte un spectacle avec Simon Fache (Pianiste Tout Terrain) et un spectacle pour les 20 ans de carrière de Boule (Boule vide son sac), quand il ne joue pas avec Franck Vandecasteele Marcel et son orchestre) dans un hommage à Jean Ferrat ou avec Manuel Paris (HK, Andrew Tosh, Tyrone Downie…) sur la tournée et l’album de ce dernier.
Béatrice Agenin (mise en scène)
Deuxième prix du Conservatoire national supérieur d’art dramatique en 1974, elle est engagée à la Comédie Française la même année, y a été nommée sociétaire en 1979 et quittera « le Français » en 1984
Elle a été au théâtre la partenaire de Jean-Paul Belmondo dans plusieurs pièces dont le rôle de Roxane dans Cyrano de Bergerac, Kean, La Dame de chez Maxime
Elle a joué de nombreux rôles à la télévision, dont le plus connu est celui de Reine, dans la série Une Famille formidable qu’elle interprète de 1996 à 2016.
Elle a été metteuse en scène de ses propres productions théâtrales. En 2014, elle présente notamment Sugar Lake, une pièce de Lee Blessing au festival Off d’Avignon
En 2020, elle obtient le Molière de la comédienne dans un spectacle de théâtre privé, pour son rôle dans Marie des Poules, Gouvernante de Georges Sand une pièce de Gérard Savoisien mis en scène par Arnaud Denis
En 2022, elle crée avec sa fille Emilie Bouchereau le spectacle Notre Petit Cabaret, joué au Festival Off d’Avignon 2022 et en 2023 accompagnées au piano par Simon Fache
La même année, elle reçoit le Prix du Brigadier 2022 pour l’ensemble de sa carrière.
Alexandre Carrière (mise en scène)
Alexandre Carrière a débuté au café-théâtre et a terminé sa formation au Conservatoire national d’art dramatique de Lille. Il a joué dans des pièces telles que « La Mégère apprivoisée » de Shakespeare et collaboré avec des réalisateurs comme Bruno Bontzolakis et Philippe Le Guay. À la télévision, il a travaillé sous la direction de réalisateurs comme Alain Tasma et Josée Dayan. Récemment, il a partagé la scène avec Philippe Torreton dans « La vie de Galilée ». Son parcours diversifié et son engagement artistique font d’Alexandre Carrière un acteur respecté dans le milieu théâtral et cinématographique.
Jacky Matte (adaptation)
Jacky Matte est un comédien, auteur, et metteur en scène formé à L’Atelier International de Théâtre Blanche Salant et Paul Weaver, après un passage par les cours Florent. Formateur, il a enseigné la comédie aux Ateliers Alice Dona et donne régulièrement des Master classe autour du théâtre d’improvisation tout en multipliant les expériences théâtrales.
Jacky est aujourd’hui comédien à la ligue d’improvisation professionnelle de Marcq En Baroeul/Hauts de France. Son second seul en scène « secrets de famille » remporte de multiples récompenses en festival (France, Suisse, Belgique, Québec). Il est aujourd’hui à l’affiche de plusieurs spectacles d’improvisation et dans une adaptation du roman de J. Steinbeck, « Des souris et des hommes ».
Actualité écriture et/ou mise en scène :
– Valentin Reinehr dans « La vie est bègue », création Avignon 2021, Il coécrit l’autobiographie de Valentin R : « la vie est bègue ».
– Les hypnotiseurs 2.0 tournée
– « Adrénaline ». Pièce courte pour un comédien autour du thème des conduites à risques.
– Il collabore à l’écriture du nouveau spectacle de Sandrine Alexis : Sandrine Alexis « flingue l’actu »
– Simon Fache dans « PianisteS » et maintenant dans « Simon Fache, pianiste tout terrain », tournée nationale.
– Charlie et Stelien dans « LALAMOUR », la parodie musicale. Théâtre De L’Européen Paris et en Tournée.
– Spectacle concert hommage « 500 voix pour QUEEN ». Tournée des Zenith 2024-25
– Spectacle d’Aurélien VIVOS « De l’ombre à la lumière » tournée 2024-25
Guillaume Singer (décor)
à la fois musicien, guitariste, charpentier, ingénieur en électricité, chaudronnier … Guillaume Singer est de ces “touche-à-tout” qui transforme une simple idée en décor magique. Partenaire de longue date de Simon Fache, ils ont joué ensemble dans le groupe Ufish pendant plusieurs années et 2 albums de Dead Season, le groupe dont Guillaume est guitariste leader, ont été enregistrés dans le studio de Simon Fache. Guillaume a construit de nombreux décors de spectacles, dont celui de Pianistologie (le premier spectacle de Simon Fache) mais aussi pour la ligue d’improvisation de Marcq en Baroeul, Eux dans l’O, la compagnie Climax et pour des spectacles au Casino Barrière de Lille ou au Colisée de Roubaix.
Thomas Muselet (communication/graphisme)
Né à Haubourdin en 1978, Thomas Muselet a entamé son parcours avec une passion profonde pour la photographie, forgée lors de son engagement dans l’armée en 2004. Ancien batteur professionnel, il s’est reconverti en photographe après avoir quitté l’armée en 2007. Autodidacte, il allie photographie et infographie, se distinguant comme un innovateur dans son domaine. Ses œuvres, caractérisées par leur originalité et leur créativité, ont orné les couvertures de magazines européens renommés et ont été présentées dans divers articles de chroniques photographiques. Reconnu au niveau régional, national et international, il a collaboré avec divers artistes et agences, créant des compositions oniriques qui témoignent de son approche unique et de son dévouement à l’art
Jean-François Carré (diffusion)
Jean-François Carré est un développeur de projets indépendant, spécialisé en marketing, communication et diffusion dans le milieu artistique. Il aide à définir des stratégies marketing et conseille en gestion de projet. Son expertise en bases de données marketing peut être utile pour la tournée de « Novecento » de Simon Fache. Il propose aussi des supports de communication optimisés.
Il intervient dans la production de contenus photo et vidéo, contribuant à la promotion des spectacles. Il utilise la prospection par email, téléphone et les campagnes digitales pour une diffusion efficace, tout en évaluant les opportunités de collaboration et en rédigeant des dossiers pour y répondre.
Avec une collaboration fructueuse établie entre Simon Fache et Jean-François Carré, il est évident que leur synergie continue jouera un rôle crucial dans la réussite de la diffusion de « Novecento ». La complémentarité de leurs compétences et leur engagement commun promettent une tournée réussie, où la stratégie de diffusion bien affinée de Jean-François complémente la créativité artistique de Simon. Cette association éprouvée augure bien pour une exposition optimale de « Novecento » à un public plus large, et met en lumière le potentiel d’une collaboration continue pour des projets futurs.